« Le seigle et la soie » entre Saint-Barthélemy-Grozon et Lamastre

 

Parution aux éditions Librinova du livre « Le seigle et la soie » dont l’intrigue se situe à Saint-Barthélemy-Grozon et à Lamastre.

L’auteur sera présent à une séance de dédicaces à la foire au boudin de Saint-Barthélemy-Grozon, le samedi 16 novembre.

 

Philippe Bouchet est l’auteur de cet ouvrage.

Ce passionné d’histoire et de généalogie est docteur en géologie de formation, il travaille dans une entreprise de services numériques.

 

Avril 1806 : Jean-Antoine, dit la Graine, quitte Saint-Barthélemy-le-Pin, berceau de la famille, pour Lyon. Il a pour ambition de devenir fabricant d’étoffes de soie.

Dans son baluchon, le trésor convoité de l’aïeul qui a fait basculer son destin et le busard de bois transmis de pères en fils, témoin des légendes familiales.

Elles commencent à l’avènement de Louis XIV : un notaire royal et deux laboureurs, frères, vont voir leurs descendants curés, dragons, notaires, laboureurs, artisans et travailleurs de terre, s’allier ou s’affronter à la mort, sous l’étau de l’armée et de l’impôt, l’emprise de la haine, de la religion, ainsi que de la soie et plus largement de la naissance de l’industrie. L’arrivée au pouvoir de Bonaparte scellera définitivement leurs destins.

 

Pourquoi ce livre ?

 » Il y a quelques années, j’avais entrepris de bâtir l’arbre généalogique paternel en partant de la photo d’un aïeul en blouse sombre, l’arrière-arrière-grand-père, dont mon père ne savait rien.

Des recherches effrénées, grandement aidées par les efforts des collectivités pour numériser les archives, m’ont ainsi permis d’accéder lentement à ce passé lointain.
Et, comme dans un film visionné à l’envers, je suis remonté de Paris à Lyon, au XIXème siècle, puis de Lyon à Saint-Barthélemy, sous Louis XIV.

Là, j’ai découvert peu à peu que les Bouchet rassemblaient beaucoup de métiers différents pour un endroit si reculé.
Je me suis alors mis à compiler un maximum d’informations sur cette période de 150 ans marquée fortement par les soubresauts des guerres de religion.

J’ai également recherché tous les signes de présence et d’évolution des métiers liés à la soie.

Je me suis enfin appuyé sur de grands auteurs anciens régionaux et j’ai ainsi tenté de faire revivre 5 générations de personnes ayant vraiment existé, en construisant une histoire fortement plausible compte-tenu des événements qui se sont succédé dans la région autour de personnages comme les camisards, Bimbarade, Mandrin, les frères Montgolfier, Boissy d’Anglas…avec plusieurs fils conducteurs : quelques légendes, un secret, et la quête de la soie ».

 

« Le seigle et la soie » est accessible en version numérique (pour liseuses) ou papier sur les sites Amazon, FNAC, Librinova….

 

Philippe Bouchet se tient à disposition pour vous présenter son livre, sa passion.

 

RAD

 

2 commentaires sur « Le seigle et la soie » entre Saint-Barthélemy-Grozon et Lamastre

  1. Ordre Moral. Jamais aussi prospère ni aussi libre notre société ? Quelle illusion ! Alors que notre planète affronte des bouleversements sans équivalent à l’échelle humaine, les peuples se révoltent, s’indignent manifestent chaque jour davantage. A trop rêver d’harmonie, d’élimination des conflits, nos sociétés se sentent enfermées dans le carcan des contrôles sociaux, de l’économie, de la vie civile, de l’esprit ….., qui en brisent tous les rêves.
    Nous possédons tous les outils nécessaires à la liberté de penser,de choisir et d’agir. Certaines idéologies ont disparues, et restent la puissance technique, l’éducation, l’abondance…..Malgré la connaissance des échecs de nos prédécesseurs, il semble cependant que tous ces pouvoirs se heurtent à une indifférence, un fatalisme, une fatigue, une attitude d’assistés face à la montée rapide et inéluctable d’un ordre de liberté surveillée et de contrôle social. Au nom de quoi ? Ce mouvement général de démission, de muette réprobation, ne s’oppose plus à cette poignée de décideurs qui tranchent et décident. L’occident terre de rêves et de prospérité pour les pays dits du tiers monde, y gémir, parait mal venu , problèmes de riches disent certains, est aussi modèle et objectif souvent trompeurs pour certains et des sociétés en devenir . Nos millions de pauvres oubliés sont l’avant garde d’affamés qui se pressent à nos portes.
    Cette société dite démocratique libérale, considérée comme la meilleure possible, nous parait trop fragile, trop fragmentée et inégalitaire. Les critiques ne servent à rien et Montaigne disait déjà que c’est folie d’attendre des changements de mœurs de nos gouvernants. Il est clair que nous abandonnons à la friche des terrains conquis pour notre liberté et que notre démocratie n’est qu’apparente ; nous abandonnons aussi notre conscience à la direction des experts , nos aptitudes à créer ne sont plus qu’une capacité à produire, nos pensées des mécanismes, nos actes des gestes . Les droits de l’homme et le devoir d’ingérence ne sont plus que des alibis de salon à notre incapacité à agir. Le joug de la nécessité dans de nombreux pays provoque régulièrement des conflits entretenus par des cycles de désespoir, ouvrant ainsi la porte au totalitarisme et aux despotes. Il est donné à tout un chacun homme politique compris, de constater l’évolution et la dégradation de notre société , le contrôle social et ses inégalités exagérées, provocant cet éloignement du citoyen de la politique. L’actualité nous précède ; chaque jour des évènements mettent en avant cette rébellion mondiale et ces refus de gouvernance, toujours traités dans la violence et les conflits. Les forces en présence sont disproportionnées et témoignent de cette volonté absolue du maintient de cette situation de la part de cette oligarchie en place. Cette métamorphose négative des rapports sociaux depuis quelques décennies a dégradé notre société . Pour les parties de gauche l’objectif c’est l’épanouissement de la personne afin d’aller jusqu’au bout de sa liberté et de ses responsabilités . Qu’en est-il face a tous ces égoïsmes et intolérances ; faut-il faire des lois sur le sujet ?
    Autre sujet , le conformisme écrasant qui ne permet plus d’échanger des idées , vous êtes classés , catalogué idéologiquement et politiquement, adhérents aux dogmes d’un parti ; la pérennité de la France, c’est le bout de la droite. nos alliances, nous perdons alors notre indépendance, la liberté économique, c’est se ranger dans le capitalisme et les partisans de l’injustice, la réforme de nos institutions , c’est éliminer la 5° république ….et faire le jeu de ???……il n’y a plus de liberté de l’esprit , chacun doit se ranger dans sa case et son tiroir.
    S’y ajoutent les politiques , intellectuels, experts, sociologues, journalistes , juristes ….qui sont devenus les auxiliaires des mécanismes qui nous broient . Il leur est donné un pouvoir illimité sur les mesures, contrôles et informations de notre société et de notre quotidien.

  2. Je n’ai pas lut le seigle et la soie et je ne sait pas si je le lirai un jour, par contre j’ai bien lut votre commentaire-« contribution » et je vous en remercie. En effet je me sent moins isolé après cette lecture. Il me semble important de parler de ce qui se passe aujourd’hui partout autour de nous; nous sommes dans un monde « mondialisé » et jusqu’à preuve du contraire nous en faisons partie de ce monde! Il n’est pas nécessaire que nous ayons le même point de vue,mais de le dire permet déjà d’aborder le sujet et d’échanger nos points de vue,notre éclairage…
    Comme beaucoup je constate que la presse, la radio et la télé ne font plus leur travail (à quelques rares exceptions) et que si nous voulons des infos, il faut aller les chercher et les transmettre.
    Pendant l’occupation nos anciens écoutaient « radio Londres » en cachette de l’occupant et aujourd’hui si on veut des infos il nous faut aller les chercher sur les réseaux sociaux pour arriver à ce maintenir informé et pouvoir transmettre l’info et arriver à comprendre ce qui se passe dans ce monde auquel nous appartenons.
    Cette machine (l’ordinateur) que je maîtrise très mal est la continuité de la tradition orale et permet ces échanges qui nous sont indispensables pour ne plus subir l’aveuglement dans lequel
    « les élites » veulent nous enfermer.
    Je pense qu’il serait important que l’on puisse se rencontrer de temps à autre dans des lieux informel pour que le lien social soit autre que numérique.

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