Ardèche – une wifi à l’âge de pierre… toujours la même aujourd’hui ?

 

Après des fouilles profondes, jusqu’à 200 mètres, dans le sous-sol russe, des vestiges de fil de cuivre datant d’environ 1 000 ans ont été découverts par les scientifiques de ce pays.

Les Russes en ont conclu que leurs ancêtres disposaient déjà il y a 1 000 ans d’un réseau de téléphonie en fil de cuivre !

 

 

 

 

Aussitôt, les Américains procédaient à des fouilles dans leur sous-sol à la même profondeur et trouvaient des restes de fibre de verre datant d’environ 2 000 ans !

 

 

 

 

Les Américains en ont conclu que leurs ancêtres disposaient déjà il y a 2 000 ans d’un réseau de fibre de verre numérique et cela 1 000 ans avant les Russes !

 

Une semaine plus tard, en Ardèche, a été publié le communiqué suivant:

« Suite à des fouilles dans le sous-sol des grottes proches du Pont d’Arc jusqu’à une profondeur de 500 mètres, les scientifiques Français n’ont rien trouvé du tout ».

Ils en ont conclu que les anciens Ardéchois disposaient, déjà il y a 5 000 ans, d’un réseau Wifi.

Quelle chance car aujourd’hui le réseau téléphonique et internet, notamment dans le secteur, c’est souvent la cata…, les pannes et mauvaises réceptions ne se comptent plus, les zones blanches existent toujours.

 

 

Ou plutôt, oui, elles se comptent : un collectif baptisé « Orange j’enrage » s’est d’ailleurs créé  fin 2019 dans la région, à l’initiative de citoyens excédés par les pannes récurrentes et l’abandon de l’entretien du réseau téléphonique en Ardèche.

 

 

Il est fort probable que les archéologues, anthropologues et autres chercheurs du futur ne trouveront jamais aucune trace de ce réseau tellement il est en mauvais état. Laissé à l’abandon, il risque de s’autodétruire dans le silence complice de certains élus locaux !

Vont-ils par contre trouver sur les ossements de nos congénères des traces de « fracture numérique », cette expression magique inventée au 21ème siècle par quelques grands savants et tant utilisée par les médias et politiciens… ?

 

 

RAD (inspiré d’une publication sur les réseaux sociaux et visualisée grâce à une connexion qui a pu aboutir sans trop ramer…)

 

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